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Hello Chantal, Peux-tu nous en dire un peu plus sur toi en quelques mots ?
algorithmes, CSE, chocolat

Quel est ton parcours, ta formation ?
Après une thèse en maths, j’ai travaillé à l’université, sur différents projets de recherche en mathématiques appliquées, en Suisse, en Allemagne et en France. L’envie de me rapprocher de problématiques plus concrètes et de travailler en équipe m’a fait rejoindre le monde de l’entreprise.

En quoi consiste ton métier au quotidien ?
Selon les périodes, j’ai des activités plutôt exploratoires, liées à la conception d’algorithmes pour répondre à des problématiques Zenbus, je participe à l’écriture du code en binôme ou je fais du test et de la recette logicielle. Pour cette dernière tâche, je collabore souvent avec les chefs de projet.

Comment te sers-tu des mathématiques dans ton poste ?
C’est surtout dans la conception des algorithmes que ma culture mathématique m’est utile. Mais, quand on fait de la recherche en mathématiques, on est créatif avec les outils mathématiques d’une façon similaire à ce que l’on peut l’être en écrivant du code. Oui, d’accord, on évoque plutôt la précision et la rigueur quand on parle des qualités des mathématiciens…

Qu’est ce qui te plait le plus dans ce métier ?
Tout d’abord, j’aime beaucoup la simplicité et la légèreté de la solution que nous proposons; comme utilisatrice convaincue des transports publics, je suis heureuse d’y participer ! Plus important : cela fait maintenant un peu plus de trois ans que je travaille pour Zenbus et je ne m’ennuie jamais ! Les problématiques et les tâches sont très variées, font souvent appel à mes compétences mathématiques. Le code nécessaire au fonctionnement de Zenbus est, comme on peut se l’imaginer, très vaste et je continue à apprendre beaucoup de mes collègues développeurs… Le tout est donc très stimulant.

En cette période de confinement, comment ça se passe pour toi ?
La plupart des activités de développement ne sont pas trop impactées par la situation de télétravail forcé que nous vivons. Les moments de brainstorming devant un vrai tableau blanc (ou autour de la machine à café) sont les seuls que nous n’arrivons pas à imiter efficacement à distance.

Merci Chantal ! 🙂